Apetahi Express

L’Apetahi Express est un ferry proposant le transport de passagers inter-îles en Polynésie française. Six îles sont desservies : Tahiti, Huahine, Raiatea, Taha’a, Bora Bora et Maupiti. Opérant 3 allers-retours par semaine, l’Apetahi Express relie Tahiti à Maupiti les lundis, jeudis et samedis, et Maupiti à Tahiti les mardis, vendredis et dimanches.

Les étapes :
Taiarapu (Tahiti) – Papeete (Tahiti) : 1 h 15 de traversée
Papeete (Tahiti) – Huahine : 3 h de traversée
Huahine – Raiatea : 1 h de traversée
Raiatea – Taha’a : 45 min de traversée
Taha’a – Bora Bora : 1 h de traversée
Bora Bora – Maupiti : 1 h 15 de traversée

Le ferry offre une capacité de 500 sièges en intérieur, et de 80 sièges sur l’espace sundeck sur le plus haut pont, à l’extérieur. C’est l’idéal si vous souhaitez profiter du soleil et des paysages ! À l’intérieur, il règne une ambiance typiquement polynésienne. Il y a même un espace où les locaux viennent chanter et jouer de la musique durant la traversée, dans une atmosphère très conviviale. Un trajet en ferry aux côtés des locaux est une super option pour éviter les aléas des avions, mais aussi pour profiter d’un mode de transport doux, sans stress.

Vous devrez vous présenter à l'embarquement 1 heure avant le départ si vous avez des bagages en soute, ou bien 30 minutes avant le départ si vous ne voyagez qu’avec un bagage cabine. Pensez également à préparer votre ticket et votre pièce d'identité. Attention, l’embarquement ferme 5 minutes avant le départ du navire.

Environ 20 minutes d’escale sont prévues sur chaque île. Toutefois, afin de ne pas ralentir l’embarquement des nouveaux passagers, il est demandé de rester à bord du bateau durant ces escales, et de ne descendre à quai que lors de l’arrivée à destination finale.

Durant la période de Mara’amu de juillet-août, les temps de traversée peuvent être un peu plus longs, avec des conditions de navigation plus difficiles. En cas de forte houle, vous aurez le choix de modifier gratuitement votre billet, de demander un remboursement, ou bien d’embarquer quand même, si vous n’avez pas le mal de mer !